Zaros, Seigneur Vide, Dieu Déchu

Ne vous dérangez même pas pour poster, je ne répondrai de cette présentation qu'à Amber



Nom :: Est-ce qu'un Dieu a besoin d'un nom de famille?
Prénom :: Zaros
Surnom :: Le Seigneur Vide, le Dieu du Vide, Porteur du Néant, celui qui ne fait qu'exister, "Lui" (pour ceux qui connaissent son histoire).
Âge :: Depuis la nuit des temps
Fonction :: Dieu de Rien.

Physique :: Zaros, lorsqu'il se manifeste physiquement, prend une apparence complètement composée de vapeur noire impalpable si condensée qu'on dirait presque qu'elle est solide. Il se terre sous une cape élégante parfaite de broderie rouge qu'il laisse souvent derrière lui lorsqu'il disparaît, toujours pour en recréer une nouvelle à chacun de ses retours. S'il enlève la cape, il se révèle sous une forme insectoïde armée d'une longue queue surmontée d'une lame à l'extrémité. Son visage est une mixture d'homme et d'insecte. Le haut de sa tête est celle d'un homme chauve avec des yeux orange globuleux, ces orbes de malveillance intense qui perce l'obscurité de la cape, jusqu'à ce qu'elle soit découverte… le bas de son visage est recouvert de chitine et comme sinistre remplacement d'une bouche, il arbore deux mandibules…
Caractère :: Zaros est quelqu'un d'incroyablement calculateur et sophistiqué. Il apprécie les plans rapidement préparés mais exécutés avec une minutie hors du commun, mais il tend à perdre les nerfs s'ils échouent. Néanmoins, cette énervement n'est que superficiel car il arbore également une patience énorme, allant même jusqu'à simplement discuter avec ses ennemis, même les aider que pour son bon divertissement, avant de leur balancer une menace par la tête pour le même motif. Cet aspect trahis une excentricité qui l'amuse fort bien... en plus d'une trop grande confiance en lui.

Il est amoral, conséquence inévitable de son Immortalité totale. Néanmoins, nul ne peut dénier son intelligence qui, même si tordue, est terriblement élevée. Il est sadique, pour ainsi dire, mais il ne donne pas la mort à moins que ce soit nécessaire.

Armes :: Sa queue montée d'une lame

Des épées de diverses tailles et longueur qu'il fait apparaître à sa guise, elles se comptent au nombre de douze.
Pouvoirs :: À NOTER- Comme il ne veut pas attirer l'attention inutile des Cieux, Zaros préfère fuir ou simplement se défendre que de lutter contre les mortels qu'il agresse constamment. S'il attaque, c'est souvent à travers des pions sans esprit ou d'autres mortels qu'il convertit (temporairement, telle est sa nature traîtresse) à sa cause. S'il est confronté directement, sans possibilité de dialoguer, il peut alors se contenter de jouer avec ses ennemis sans trop leur faire mal jusqu'à ce qu'elles se fatiguent ou qu'il en aille assez eut, mais EXTRÊMEMENT RARES sont les fois où il passe en attaque frontale pour détruire.



Invocation/Création- Zaros a l'impressionnante capacité de créer des formes de vies ou des objets de diverses natures et pouvoirs. Toutefois, comme il n'a jamais été doté du pouvoir de créer de véritables formes de vies indépendantes, il ne peut que créer des marionnettes de puissances variant entre simple chair à canon à une créature qui peut sérieusement être embêtante à maîtriser, mais jamais au point d'être invincible. Il sait également créer des objets auxquels il peut donner des propriétés intéressantes, mais il ne se prive pas de les retirer aux mortels qui ont été graciés de leur propriété que pour un simple caprice.

Maîtrise de l'Ombre- Le Seigneur Vide a une Maîtrise de l'Ombre qui ne peut être égalée par aucun mortel, il se sert de l'Obscurité comme une extension de lui-même, lui conférant une capacité offensive et défensive hors de tout ce qui est imaginable. Cela incluse pouvoir se déplacer dans les Ombres ou les utiliser pour patiner sur une surface.

Télékinésie- Zaros ne limite pas sa puissance à l'usage de l'Ombre lorsqu'il interagit dans le monde des mortels, il n'hésite pas à faire appel à la télékinésie avec laquelle il aime bien tourmenter davantage ses ennemis.

Phase moléculaire/Téléportation- Pour terminer, le Seigneur Vide peut se téléporter ou se manifester en tant qu'une traînée d'étoiles violettes. Cette forme moléculaire est toujours utilisée avant qu'il se téléporte, pour faciliter le procédé et le rendre plus subtile car il ne se téléporte pas d'un bloc, il se divise en une infinité de particules regroupées en groupes microscopiques, puis il téléporte chacune de ces molécules une à une à une vitesse infinie, pour n'utiliser que de très mineurs sorts de téléportation qui ne laissent que très peu de traces. Il suspend parfois le procédé pour se promener sous forme d'une masse de petites étoiles violettes, une apparence qu'il utilise pour impressionner ou fanfaronner et être à l'abri des assauts.

Histoire :: On ne connaît pas grand-chose sur le Seigneur Vide, le peu que l'on sait de lui provient de vieilles légendes racontées à travers les siècles par des tribus descendant de minces groupes de survivants de diverses catastrophes s'étant produites des millénaires auparavant. La constante était la même… quiconque savait quelque chose sur le Seigneur Vide avait vécu une vie misérable, ou alors c'était ses ancêtres qui avaient souffert du pire et qui y avaient survécu. Les mythes et les légendes à son sujet étaient diverses, mais une seule histoire ne variait jamais: ses origines…



Il est dit que Zaros, comme il se serait nommé lui-même à sa naissance avec les autres premiers Dieux, était différent des autres Divinités. En quoi, seule l'histoire peut nous l'apprendre. Chaque Dieu et Déesse, peu importe son nom, son titre, ses ambitions et la religion qu'il ou qu'elle imposait, cherchait à régner, faire prospérer et à un certain point, chérir, son peuple. Cela s'est répété des milliers de fois à travers toute l'existence, du début des Temps et tout le long de cette éternité, le même scénario se répèterait inlassablement. Les cités tomberaient, les empires s'érigeraient, la vie triompherait de la victorieuse mort, la lumière éclairerait l'ombre qui elle-même engloutirait tout pour se venger, mais jamais cette constante ne changerait.



Les Dieux, directement ou pas, tenaient aux mortels car ils étaient la seule chose qui changeait vraiment, la seule chose qui avait vraiment de l'importance. Alors même si certaines Divinités haïssaient et châtiaient des mortels… Zaros, lui, ne voyait en cela aucun intérêt. À part son nom, il ne se déclara aucun titre, ne créa ou ne réclama aucun peuple. Il se fit surnommer Seigneur Vide, Dieu de Rien et ainsi de suite, mais cela ne le dérangeait pas comparativement au fait qu'il avait du mal à comprendre pourquoi les mortels étaient si importants.



Alors il les observa, longtemps c'est ce qu'il fit pendant des millénaires, encore et encore, et jamais il ne comprit vraiment ce qu'il y avait de si bien à contrôler des mortels. Il lui vint finalement, comme ultime conclusion, que si les créatures qui peuplaient l'univers étaient si importantes, si intéressantes, ce devait être parce que le reste était particulièrement non-important et sans intérêt, une conclusion qui répondait bel et bien à sa situation.



Alors Zaros fit quelque chose d'insensé, il descendit sur Terre et s'incarna dans un bébé humain pour devenir lui-même ce que ses frères et sœurs adoraient tant. Cela eut une conséquence pour le moins inattendue chez la Divinité. N'aillant qu'observé de loin, il n'avait aucune vraie compréhension des hommes et beaucoup de choses dans leur nature étaient simplement incompatibles à lui.



Peut-être était-ce unique à lui-même, mais l'une de ses choses qui ne pouvait simplement pas fonctionner avec lui, c'était l'amour.



Même lorsqu'il fut mortel, des aspects de sa Divinité resurgissaient tandis qu'il vivait sa courte vie d'homme, ce qui fit de lui quelqu'un de particulièrement exceptionnel et plein de succès. Ce ne fut pas long avant qu'il se trouve une douce moitié et passe le reste de sa vie avec elle… mais il était ce qu'il était, et même s'il habitait une enveloppe charnelle et que ses mémoires étaient étouffées par la mortalité, sa nature de Dieu ne lui permit pas de rester avec elle à travers la mort. Il la vit se faner, dépérir et succomber tandis que lui, malgré l'âge qui se faisait sentir sur son corps, demeurait plein de vie à cause de sa véritable nature. Et lorsque finalement la Faucheuse vint le ramener dans les Cieux à sa demande, car il demeurait un Dieu même s'il n'en avait souvenir, son Trône Divin et la conscience de sa véritable identité lui annoncèrent une bien triste réalité.



Elle était une mortelle, il était un Dieu. Une telle alliance ne pouvait pas durer au-delà de la durée d'une vie, et ne régnant sur Rien, le destin de cette mortelle ne tombait pas sous sa juridiction… Ils furent séparés et Zaros fut, dès lors, habité d'une rage infinie envers ce sort cruel.



Il aurait dû s'en remettre, il était un être intemporel pour qui ce genre de choses ne voulait rien dire, mais rien n'en était car il avait goûté à l'impermanence de la mortalité et de ce fait, il agonisait chacune des secondes qui le séparait de sa bien aimée.



Ce fut dans sa douleur que sa rage devint folie. Il régnait sur le Vide et la non-existence, son amour était une mortelle et donc liée à l'Univers et les autres Dieux qui gouvernaient celui-ci. S'il venait à anéantir toute la Création, alors toute l'existence et les mortels y ayant vécu seraient à lui et à personne d'autre, et de fait, la femme qu'il avait aimé pourrait revenir à lui.



Ironiquement, ce fut lorsqu'il redescendit sur Terre que Zaros regagna sa patience de Divinité et mit en marche un plan qui devait s'écouler sur une durée de plusieurs millénaires, des millions de millénaires s'il le fallait. Il monterait les peuples et les espèces habitant sur les Terres Mortelles l'un contre l'autre et œuvrerait tranquillement à l'ébauche d'une Glorieuse Apocalypse qui ramènerait son amour à ses côtés…



Il y travaille depuis si longtemps et si lentement, et il prend le temps de profiter de tous les petits plaisirs que cette Terre qu'il cherche à détruire a à offrir, tout en faisant avancer sa fin… À travers les générations il a manipulé des événements et trahis ceux qui ont exaucé sa volonté, c'est pour cela que les traces de son existence sont si petites et que la route menant à celles-ci est constamment pavée de désespoir… pourquoi en serait-il autrement? Il est lui-même fou de désespoir…



Fou d'un désespoir qu'il est maintenant sur le point de semer sur Enkidiev, Irianeth et tout autre endroit où sa folie peut avoir court…


Qui vous a montré ce forum? :: L'Admin principale

j'sais que tu as dit que ce n'était pas la peine de poster tu va simplement répondre qu'à Amber mais tu ne serais pas par hasard Gaël...???

Zaros dieu Déchu = V2 pas vrai?

Merci d'être venu, Gaël. Je t'accepte. (Je vais te mettre ton rang quand je vais revenir chez moi ce soir)